Retrouvez mes avis sur les précédents tomes : La Princesses des glaces, Le Prédicateur, Le Tailleur de pierre et L'oiseau de mauvais augure.
* L'histoire :Erica peut enfin souffler depuis la naissance de Maya : Patrik est en congé paternité. Et ça tombe plutôt bien car elle est très titillée par des trouvailles faites dans le grenier quelques semaines plus tôt : une malle appartenant à sa mère, cette femme si mystérieuse pour elle, et qui contient une petite brassière maculée de sang et surtout, une médaille ornée d'une croix gammée... Erica va tenter de comprendre pourquoi sa mère gardait ces objets et surtout leur provenance. Pour cela, elle va prendre contact avec un vieux professeur d'histoire à la retraite, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale dans les pays scandinaves. Peu de temps après, l'homme est retrouvé assassiné. Quel est le lien entre cet homme l'histoire de la mère d'Erica ?* Mon avis :
Camilla Läckberg est remontée dans mon estime après la lecture de ce cinquième tome. Certes, l'énigme est encore une fois pas vraiment très très crédible (comme par hasard, l'ami d'enfance de la mère d'Erica meure pile poil au moment où elle s'intéresse à leur jeunesse...) et les ficelles sensiblement similaires, mais on retrouve cette sensation d'impatience qui a caractérisé la lecture de certains tomes de la saga. Mais je n'ai pas été surprise par le dénouement... En revanche, Camilla Läckberg s'est beaucoup documentée sur la Seconde Guerre mondiale dans son pays et en Norvège et l'aspect historique du polar est bien mieux maîtrisé que l'enquête (paradoxalement). J'ai apprécié la lecture du récit relatant la jeunesse de la mère d'Erica pendant la guerre. L'enquête contemporaine m'a un petit peu moins captivée. Je crois que je n'aurai pas dû enchaîner les livres de cette saga : ils ont perdu un peu de leur saveur.
Camilla Läckberg est remontée dans mon estime après la lecture de ce cinquième tome. Certes, l'énigme est encore une fois pas vraiment très très crédible (comme par hasard, l'ami d'enfance de la mère d'Erica meure pile poil au moment où elle s'intéresse à leur jeunesse...) et les ficelles sensiblement similaires, mais on retrouve cette sensation d'impatience qui a caractérisé la lecture de certains tomes de la saga. Mais je n'ai pas été surprise par le dénouement... En revanche, Camilla Läckberg s'est beaucoup documentée sur la Seconde Guerre mondiale dans son pays et en Norvège et l'aspect historique du polar est bien mieux maîtrisé que l'enquête (paradoxalement). J'ai apprécié la lecture du récit relatant la jeunesse de la mère d'Erica pendant la guerre. L'enquête contemporaine m'a un petit peu moins captivée. Je crois que je n'aurai pas dû enchaîner les livres de cette saga : ils ont perdu un peu de leur saveur.
Pourquoi pas ? J'avoue que j'avais préféré le second tome au premier car j'avais préféré le regard masculin de Patrik. Mais pourquoi pas, si tu dis qu'il est meilleur que d'autres. :D
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