Classement par auteur

jeudi 20 février 2014

Jonas Jonasson - Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire - 2011

Livre emprunté à la bibliothèque d'une auberge de jeunesse à Nanning (Chine), déposé à Kuala Lumpur (Malaisie). Lu pendant le trajet de bus Nanning-Hanoï (Vietnam).

* Présentation de l'éditeur :
Le jour de ses cent ans, alors que tous les notables de la ville l'attendent pour célébrer l'événement, Allan Karlsson s'échappe par la fenêtre de sa maison de retraite quelques minutes avant le début de la fête organisée en son honneur. Ses plus belles charentaises aux pieds, le vieillard se rend à la gare routière, où il dérobe une valise dans l'espoir qu'elle contienne une paire de chaussures. Mais le bagage recèle un bien plus précieux chargement, et voilà comment Allan se retrouve poursuivi par la police et par une bande de malfrats… Commence alors son incroyable cavale à travers la Suède, mais aussi, pour le lecteur, un étonnant voyage au coeur du XXe siècle, au fil des événements majeurs auxquels le centenaire Allan Karlsson, génie des explosifs, a été mêlé par une succession de hasards souvent indépendants de sa volonté.

* Mon avis :
Complètement déjanté et hilarant, ce livre se lit d'une traite ! La formidable aventure d'Allan lui fait vivre des situations totalement ubuesques et rencontrer des personnages hauts en couleurs. Son histoire personnelle, qui se superpose à celle du XXe siècle, est elle aussi improbable mais tellement drôle ! Impossible de lire ce livre sans rire (ce qui m'a attiré des regards circonspects dans le bus...). Et pour le clin d’œil, je le classe aussi dans la catégorie "histoire" de ce blog !

samedi 8 février 2014

Bernard Werber - Le rire du cyclope - 2012

Premier livre voyageur de mon tour du monde ! Emprunté à la bibliothèque d'une auberge de jeunesse à Guilin (Chine), déposé à celle d'un petit hôtel de la vieille ville d’Hanoï (Vietnam).

* Présentation de l'éditeur :
Après un brillant spectacle à l'Olympia, « le Français le plus aimé des Français », le comique Darius Miroslav Wozniak, dit Le Cyclope, meurt dans sa loge d'une crise cardiaque après un incroyable éclat de rire. Le garde du corps de Darius et le pompier de service, discutant devant la porte de sa loge, fermée à double tour, sont les seuls témoins de la scène.
Aussitôt l'événement est nationalisé et au Guetteur Moderne, tous les journalistes du service société du magazine se creusent la tête pour trouver les meilleures idées d'articles. La jeune pigiste, journaliste scientifique, Lucrèce Nemrod, émet contre l'avis de tous l'hypothèse que Darius Wozniak soit mort de rire. Malgré l'apparente stupidité de cette théorie et la désapprobation de sa chef de service et de tous ses collègues, la jeune journaliste parvient à convaincre sa supérieure de l'autoriser à mener une enquête. Lucrèce se rend donc chez son ex-compagnon d'aventure Isidore Katzenberg afin de le convaincre de l'aider à résoudre ce nouveau mystère.

* Mon avis :
De Werber, je n'avais lu que la célèbre Trilogie des Dieux, il y a presque trois ans. J'avais été très partagée par le style de l'auteur. Certains éléments m'avaient énormément plu tandis que d'autres m'avaient horripilée. J'appréhendais donc l'idée de relire du Werber mais la curiosité a pris le dessus (et c'était le seul livre disponible en français dans cette bibliothèque). Le thème central de l'histoire m'a semblé tiré par les cheveux, bien plus pauvre que celui développé dans la Trilogie des Dieux. Globalement, le rythme de l'histoire est soutenu et malgré la remarque précédente, j'étais plutôt curieuse de connaître la suite de l'enquête (ou plutôt de la quête) de Lucrèce et Isidore. Je sais, c'est un peu contradictoire mais je voulais connaître le fin mot de l'histoire et voir où l'auteur voulait en venir. Fait original, les chapitres sont séparés par des histoires drôles ! Certaines sont vraiment très bonnes, voila pourquoi je classerai aussi, par clin d’œil, ce roman dans la catégorie "humour" du blog. En tout cas, je crois que je ne retenterai pas l'expérience Werber, sauf si je n'ai que ça sous la main...